Ce volume traite des plantes et de ce qui les différencie des animaux, sous l'angle de la biologie moderne. La législation suisse exige le respect de la dignité de tous les organismes vivants, tant des animaux que des plantes. alors que plusieurs caractéristiques de la dignité des animaux viennent facilement à l'ésprit, il es plus compliqué de définir sur quelles bases se fonde la dignité des plantes. Celle-ci sont davantage perçues comme de simples objets et non comme des êtres vivants à respecter et à protéger au nom de leur valeur morale.

L’auteur commence par expliquer qu'une grande partie de l'évolution des plantes et des animaux est un cheminement commun. De ce fait, même si leur organisation est fondamentalement différente, leurs structures cellulaires et leur degré de complexité sont très semblables.

Il décrit la manière dont les plantes sont capables de percevoir et d'enregistrer des informations extérieures pour ensuite y réagir. Dans ce contexte, il conclut que la distinction entre les plantes et les animaux n'est q'une question de degré. Du point de vue biologique, il n’est pas possible d'affirmer que les animaux sont plus évolués que les plantes.

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